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lundi 20 décembre 2010

D'après John Singer Sargent.

Linette vous souhaite de belles fêtes !

lundi 8 novembre 2010

D'après Edmund Blair Leighton.

En sommeil.
Linette préfère la cueillette.

mercredi 27 octobre 2010

Schwarze Federn.

mardi 19 octobre 2010

Abschied.

mercredi 13 octobre 2010

D'après Cecilia Beaux.

Deuxième version.

D'après Frederick Childe Hassam.

En berne.

lundi 11 octobre 2010

D'après Le Corrège.

Be my angel.

mardi 5 octobre 2010

D'après Charles Courtney Curran.

Im Sonnenuntergang.

jeudi 30 septembre 2010

D'après Charles Courtney Curran.

Fireflies.

lundi 27 septembre 2010

D'après Cecilia Beaux.

Essai.

jeudi 23 septembre 2010

D'après Carolus-Duran.


mardi 21 septembre 2010

Dernier songe d'une nuit d'été.

lundi 20 septembre 2010

D'après Boris Kustodiev.

Absence.

mercredi 15 septembre 2010

D'après Félix Edouard Vallotton.

Reprise en main, remise en jambes.

mercredi 16 juin 2010

D'après George Hendrik Breitner.

Devant moi passe un papillon
Et pour la première fois dans l’univers je remarque
Que les papillons n’ont ni couleur ni mouvement
Tout de même que les fleurs n’ont ni parfum ni couleur
C’est la couleur qui est colorée dans les ailes de papillon
Dans le mouvement du papillon c’est le mouvement qui se meut,
C’est le parfum qui est parfumé dans le parfum de la fleur
Le papillon n’est qu’un papillon
Et la fleur n’est qu’une fleur

Fernando Pessoa

lundi 14 juin 2010

mardi 1 juin 2010

D'après Jozsef Rippl Ronai.

Sweet little sister

jeudi 27 mai 2010

D'après Thomas Eakins.

mardi 25 mai 2010

Leda.

mercredi 19 mai 2010

D'après William Bell Scott.

Parmi les hautes branches d’épaisses frondaisons
Le vent suscite, froide et haute, une rumeur,
Dans cette forêt, dedans ce bruit je me perds
Et je médite solitaire.
Dans ce monde, ainsi, bien plus haut que mes sensations,
Un vent suscite la vie, et la laisse, et la prend,
Et plus rien n’a de sens – pas même l’âme
En qui solitaire je pense.

Fernando Pessoa

Tombé du nid

mardi 11 mai 2010

En travaux dans la vraie vie.

vendredi 30 avril 2010

D'après Berthe Morisot.

Et maintenant ?

jeudi 22 avril 2010

D'après William Merritt Chase.

De guerre lasse

jeudi 15 avril 2010

D'après John Everett Millais.

Back to the garden

mardi 13 avril 2010

D'après Pierre Auguste Renoir.

Autoportrait

mercredi 7 avril 2010

D'après John Everett Millais.

Loup, y es-tu ?

jeudi 1 avril 2010

D'après Paul Delaroche.

Pâques chez Mrs Merle

mercredi 31 mars 2010

D'après Francisco de Goya.

Pets

vendredi 26 mars 2010

D'après Claude Monet.


 Grand vent

mercredi 24 mars 2010

D'après John Everett Millais.

März

Es ist ein Schnee gefallen,
Denn es ist noch nicht Zeit,
Dass von den Blümlein allen,
Dass von den Blümlein allen
Wir werden hoch erfreut.

Der Sonnenblick betrüget
Mit mildem, falschem Schein,
Die Schwalbe selber lüget,
Die Schwalbe selber lüget,
Warum? Sie kommt allein.

Sollt ich mich einzeln freuen,
Wenn auch der Frühling nah?
Doch kommen wir zu zweien,
Doch kommen wir zu zweien,
Gleich ist der Sommer da.

Johann Wolfgang von Goethe

dimanche 21 mars 2010

D'après Pierre Auguste Renoir.

Une petite valse ?

jeudi 18 mars 2010

D'après Fernand Khnopff.

Sweet Mrs Merle, hommage.

mercredi 17 mars 2010

D'après Pierre Auguste Renoir.

 Le renard et la belle dame

Un renard se mourrait d’amour
En secret pour une belle dame
Il entreprit, pour lui faire la cour
De répandre des rumeurs infâmes
Dénigrant les autres animaux
Le chat, le chien, la basse-cour,
De sa verve piquante
De ses méchants mots
Et de sa faconde mordante.
Il fit tant et si bien
Que les animaux, à la fin
Se liguèrent tous contre lui
Et sans faire plus de bruit
Conduisirent la chasse à courre
Droit au goupil qui se cachait.
Depuis, le renard orne le cou
De la belle dame qu’il aimait,
Et il est doux comme tout.

Yves Le Guern, extrait

jeudi 11 mars 2010

D'après François Boucher.

"La fureur n'est en aucune façon une réaction automatique en face de la misère et de la souffrance en tant que telle ; personne ne se met en fureur devant une maladie incurable ou un tremblement de terre, ou en face de conditions sociales qu'il paraît impossible de modifier. C'est seulement au cas où l'on a de bonnes raisons de croire que ces conditions pourraient être changées, et qu'elles ne le sont pas, que la fureur éclate. Nous ne manifestons une réaction de fureur que lorsque notre sens de la justice est bafoué ; cette réaction ne se produit nullement parce que nous avons le sentiment d'être personnellement victime de l'injustice, comme peut le prouver toute l'histoire des révolutions, où le mouvement commença à l'initiative de membres des classes supérieures qui conduisit à la révolte des opprimés et des misérables."
Hannah Arendt,
Crises of the Republic, 1969

mercredi 10 mars 2010

D'après Jean Fouquet.

Ignoble cambrousse